Nous disons au revoir (encore !) à la mer Méditerranée. Après l’école, nous avons quitté notre spot près de Manavgat pour remonter dans les terres et découvrir les monts Taurus.

Les monts Taurus forment une chaîne de montagnes situées dans le sud de la Turquie, séparant la côte méditerranéenne au sud de la Turquie du plateau anatolien central. Elle s’étend le long d’une courbe allant du lac Eğirdir à l’ouest jusqu’aux fleuves Euphrate et Tigre à l’est. Elle fait 600 km de longueur et culmine à 3 756 m. De nombreux sommets y ont entre 3 000 et 3 700 m d’altitude.

Nous avons repéré un spot au bord d’un lac. Mais le lieu n’est pas très charmant et surtout la route est très proche. Nous nous arrêtons quand même pour le repas du midi. Après manger, nous reprenons la route. Nous avons vu un autre lieu, mais la route pour s’y rendre est assez sinueuse. Tant pis, nous décidons quand même d’y aller pour y rester pendant le week-end.

En arrivant, nos premières impressions sont super bonnes ! Le lieu est magnifique, c’est vert (on a les pieds dans l’herbe !) et la rivière coule devant nous. C’est magique ! Le lieu est équipé de quelques tables de pique-nique, de fontaines et de carbets. Et à quelques mètres, nous découvrons les cascades Aygır Dibi.

Samedi, quelques Turcs viennent ici pour pique-niquer. Mais c’est dimanche qu’il y la plus de monde. Au moins une centaine de véhicules sont sur place. Cela ne nous empêche pas de conserver le calme que nous avions comme nous sommes dans une partie un peu à part du site. Quelques Turcs viennent par curiosité. Des femmes m’apportent un petit bouquet de fleurs sauvages, et d’autres nous offrent des parts de gâteau. Dans l’après-midi, une grosse pluie orageuse s’invite (avec de la grêle). Nous rangeons ce qui craint. Les enfants se réfugient dans leur Tannière pour continuer à jouer. Yannick et moi rentrons dans Ookami, et on en profite pour regarder un épisode de notre série en cours (ce qui ne nous est pas arrivé en pleine journée depuis presque… 11 ans !). La pluie dure une partie de l’après-midi, mais devient plus éparse.

Lundi matin, le soleil est revenu ce qui nous permet de sécher les tentes. Après l’école, nous quittons ce petit coin de paradis afin de refaire le plein de fruits et de légumes. Nous nous arrêtons à Bezkir pour faire nos achats dans un manav et nous mangeons dans un petit restaurant.

Ensuite, nous reprenons la route jusqu’au Park Alanı de Akkışla Yaylası, une immense aire de en pleine nature avec beaucoup de pins, des oiseaux et des écureuils ! Mercredi, un énorme orage s’invite nous offrant du vent, du froid, de la pluie et même de la grêle ! Au début de la pluie, les enfants entrent dans leur tente pour être à l’abri et continuer à jouer. Mais, au fil des minutes, la pluie devient petite grêle puis gros grêlons. Les enfants ne sont pas très rassurés. Il nous faut quelques secondes pour les attraper afin de nous réfugier tous dans Ookami. Ce mauvais temps ne dure pas très longtemps, mais il est très intense ! Je crois que nous n’avions pas encore vécu un tel épisode.

Vendredi matin, nous nous préparons à partir. Pendant que nous faisons notre dernière journée d’école qui finit le niveau de chacun, Yannick range les tentes. Au même moment, 3 bus scolaires arrivent avec 6 classes de 35 élèves, soit environ 200 enfants. C’est assez impressionnant voir ce lieu, très calme en début de matinée, prendre vie aussi rapidement. Nous faisons alors la connaissance de Abdurrahman et Faysal, 2 professeurs. Abdurrahman est professeur d’anglais, et déplore de ne pouvoir donner que 2 heures de cours à ces élèves, et Faysal est enseignant depuis 42 ans.

Ils nous invitent à partager leur kahvaltı et le çay, avec 6 autres enseignants. Nous échangeons pendant plus d’une heure. Un moment incroyable pendant lequel ils ont pu nous partager leurs difficultés face à l’augmentation des prix en Turquie.

Après ce beau partage, nous reprenons la route. Juste pour le plaisir, et parce que c’est le nom de famille de notre famille turque, nous allons voir les cascades Göksu. Bien qu’elles soient très jolies, il y a des travaux qui nous empêchent de les approcher. Tant pis, nous nous offrons des glaces et des cerises avant de partir !

Pour la nuit, nous nous posons dans ce petit coin de forêt pour la nuit. Pas hyper sympa, mais il nous offre un superbe coucher de soleil, instant que nous n’avions pas vu depuis plusieurs semaines.

Le lendemain, sur la route, nous apercevons une mosquée qui nous intrigue. Nous décidons donc d’aller la voir. Il s’agit d’une ancienne église transformée en mosquée. À l’intérieur, l’architecture ne nous trompe pas avec ses arcs-boutants.

Après cette visite, nous reprenons la route et faisons un petit détour pour découvrir la grotte de İncesu. Longue de 1356 m, le parcours aménagé nous a permis de parcourir 1050 m. Nous avons pu y voir des stalagmites, stalactites et des travertins. Le chemin est très glissant, car ils ont installé du marbre au sol. Et quand l’humidité et la terre mouillée s’y déposent… je vous laisse imaginer les jeux d’équilibriste que nous avons dû faire !

Nous partons ensuite pour le Ivriz Rock Memorial. Nous espérons pouvoir dormir sur le parking. Malheureusement, le gardien nous dit que ce n’est pas possible le week-end… Tant pis, nous allons quand même visiter le site pour y découvrir des gravures Hittites datant d’il y a trois mille ans. Ce monument a été construit par Warpalawas qui était l’un des rois de Tuwana sur les bords de la rivière Ivriz. Elles représentent Tarhundas, le dieu du tonnerre, mais aussi de la plénitude et de la fertilité, et le roi Warpalawas. On y voit le roi, plus petit, priant le Dieu. On y distingue une inscription qui dit : « Je suis Warpalawas le roi de Tuwana, le souverain et un héros. J’ai planté ces raisins alors que j’étais un jeune prince dans le palais. Que le dieu Tarhundas donne la plénitude et la fertilité. »

Après cette visite, nous allons nous poser sur le Park Alanı d’Ereğli. Et sur la route, l’événement de notre journée arrive : Maïa perd sa première dent !!! Elle est tellement heureuse de nous annoncer cette nouvelle. Moment qu’elle a vécu très sereinement et dans joie, bien entourée de sa sœur et de son frère qui ont pu l’accompagner et la rassurer !

Nous passons par la ville d’Ereğli pour aller au Park Alanı. À un feu rouge, nous nous arrêtons près d’une épicerie. Quatre employés sont en train de travailler/discuter dehors. L’un d’eux nous demande si nous avons besoin de quelque chose, comme de l’eau. Nous lui faisons signe que tout est OK. Mais en quelques secondes, il entre dans la boutique et en ressort avec 4 bouteilles d’eau qu’il nous donne par la fenêtre. Nous avons tout juste le temps de le remercier que le feu passe au vert, et nous devons avancer…

La nuit dans ce parc est compliquée : nous devons dormir dans Ookami alors qu’il fait chaud. Nous dormons donc la porte entrouverte pour rafraîchir l’intérieur. Une dizaine de chiens ont décidé de nous offrir un concert nocturne. Et pour finir, une machine de fête foraine est restée allumée toute la nuit et nous avons le droit à des interludes musicaux insupportables par tranches de 20 secondes avec 6 morceaux différents !!!

Le lendemain matin, nous souhaitons repasser par l’épicerie de la veille pour remercier l’équipe de vive voix. L’homme qui nous a offert l’eau n’est malheureusement pas là, mais nous prenons le temps de discuter avec ses trois collègues qui veulent nous prendre des photos. À leur tour, elles nous offrent un gros paquet de gaufrettes pour les enfants.

Nous repartons ensuite pour la Cappadoce. Et nous faisons une pause plaisir aux sources chaudes de Selime. Un moment très agréable que nous sommes heureux de vivre tous les cinq. Avant de quitter les lieux, nous faisons un point travail et nous signalons que nous ne serons pas disponibles pendant quelques jours…

Absents, car nous allons partager quelques jours de bonheur, de joie, de déconnexion et de reconnexion auprès de nos amis les Mamatoch. Après 4 mois sans s’être vus, nous partageons enfin des moments privilégiés avec eux dans une jolie vallée, près de Belisirma, traversée par la rivière Melendiz. Nos louveteaux sont super heureux de retrouver leurs amis, et nous aussi !!!

Mardi, les Very Abad Trip, que nous avions rencontrés en décembre dernier, nous ont rejoints. C’est chouette de pouvoir partager aussi un moment avec eux.

Mercredi, nous sommes allés tous nous balader dans la vallée et nous avons crapahuté dans les maisons troglodytes. Malheureusement, une mauvaise réception a eu raison de la cheville gauche de Yannick…

Le midi, nous avons pique-niqué près de la petite mosquée Kaya. Après le déjeuner, Yannick préfère rentrer, car sa cheville le fait toujours souffrir, pendant que nous continuons à nous balader.

Vendredi, les Very Abad Trip nous quittent pour retrouver la côte Méditerranée. Quant à nous, nous continuons à profiter pleinement de nos doux amis !!!

Samedi matin, nous disons au revoir à nos amis. Des au revoir très émouvants, car nous ne savons pas quand nous les reverrons. Cela a été très dur pour Liam qui a ressenti beaucoup de tristesse…

Après un passage par Aksaray pour refaire le plein de denrées alimentaires, nous allons nous poser pour quelques jours au lac Narligöl. Il n’y a personne, tout est calme, le lieu parfait !

Dimanche, c’est la fête des papas ! Les enfants lui offrent des petits « Ojos de Dios » qu’ils ont confectionnés il y a quelques jours grâce au tuto de « S’éveiller Naturellement ».

Lundi, nous avons envie de profiter pleinement de la dernière journée sans vent. Nous décidons donc de nous faire un petit feu de camp et de manger des marshmallows.

À partir de mardi, le vent s’invite tous les après-midis, avec de jolies rafales. Cela ne nous empêche pas de continuer à profiter des tentes, mais rester dehors n’est pas super agréable.

Vendredi, après une nuit perturbée par les chiens qui ont beaucoup aboyé, nous quittons ce joli spot pour refaire le plein de nourriture.

Et c’est sur les bords du lac Akköy que nous arrivons en fin de matinée. Nous espérions pouvoir continuer à travailler, mais le réseau est très défaillant. Yannick réussit à bosser un peu hors ligne, mais pour moi, c’est raté. Le vent souffle toujours, mais nous ouvrons quand même une tente. Erreur ? Peut-être, car le vent souffle toute la nuit avec de grosses rafales. La nuit a été très courte pour Yannick et moi. Quant aux enfants… imperturbables, ils ont ronflé sans se rendre compte de quoi que ce soit !

Nous quittons notre spot en début de matinée et, après un arrêt à Yeşilhisar pour faire quelques courses, nous allons visiter le parc naturel Sultan Sazlığı.

Il s’agit d’une réserve naturelle où vivent environ 250 espèces d’oiseaux, résidents ou migrateurs, dont 20 en voie d’extinction. Nous avons pu y voir des grues, ibis noirs, cigognes, faucons, mais aussi des grenouilles et des tortues. Aussi, nous avons visité le tout petit musée qui nous permet de mieux connaître les animaux qui vivent ici. Nous avons adoré cette promenade dans ce lieu apaisant.

Nous allons ensuite nous poser sur le Park Alanı de Develi, au pied du mont Erciyes qui culmine à 3916 m. Mustafa, le gardien du parc nous accueille. Il nous invite à nous installer près de sa maison et sous les arbres pour être le plus confortable possible.

Nous avions prévu de ne passer que le week-end ici, mais on se sent vraiment bien alors nous restons pour la semaine. Yannick est régulièrement invité par Mustafa à boire un çay, 3 adorables chiots kangal viennent nous rendre visite, et d’adorables et très nombreux petits spermophiles (sorte de petites marmottes) nous entourent.

Dimanche matin, les enfants vont jouer dans l’aire de jeux et ils découvrent une chienne qui a donné naissance à 9 chiots pendant la nuit, sous la structure de jeux.

Dans la journée, beaucoup de Turcs sont présents dans le parc pour passer la journée. Un groupe d’enfants de 10 à 16 ans viennent me voir et me posent beaucoup de questions sur notre vie.

Lundi, c’est la reprise de l’école après deux semaines de vacances. Mais nous reprenons en douceur avec des révisions grâce aux cahiers de vacances de Pass Éducation.

Mardi, un évènement tragique va marquer notre journée. Après l’école, les enfants vont jouer sur l’aire de jeux. Là-bas, tout le monde vit en harmonie : les enfants, les chiens, les poules et les spermophiles. Pendant ce temps, Yannick et moi travaillons. Quand soudain, nous les entendons hurler, paniqués. Je vais les voir. Je ne les ai jamais vus aussi terrorisés ! Ils m’expliquent que la chienne s’est absentée pour chercher à manger. Quand tout à coup, l’un des chiots kangal s’est approché des bébés, comme ils ont l’habitude de le faire tous les jours. Au même moment, la maman est revenue et elle s’est jetée sur le chiot et l’a tué avec beaucoup de violence. On imagine qu’elle a pris peur en voyant ce chiot trop près de ses bébés et a voulu les protéger.

Nos louveteaux ont ainsi assisté à la scène et ont été terrifiés par ce qu’ils ont vu. Et on peut les comprendre !!!

Nous les avons rassurés, nous avons accueilli leurs émotions, nous avons écouté attentivement leurs récits, leurs impressions. Ils ont pu se confier et nous avons fait le parallèle avec des documentaires que nous avions vus et où nous avions pu voir ce dont les femelles étaient prêtes à faire pour défendre leurs petits.

En fin de matinée, les services de la ville sont venus enlever le corps du chiot. Mustafa nous explique qu’ils ont prévu de revenir le lendemain pour prendre la mère et ses bébés et les mettre à l’abri dans un centre pour animaux.

Les enfants nous disent ne plus vouloir retourner sur l’aire, et nous leur disons que nous sommes tout à fait d’accord avec leur choix surtout tant que la mère est encore présente. Le reste de la journée se passe en toute douceur, et sans vraiment évoquer cet évènement.

Mercredi matin, pendant l’école, Yannick assiste à un deuxième évènement tragique. La chienne s’en prend violemment à un deuxième chiot kangal. Yannick s’approche doucement et découvre le corps inerte.

En fin de matinée, les services de la mairie arrivent pour récupérer la chienne et ses chiots. Mais, on ne sait pas pourquoi, ils laissent le corps du chiot ainsi que celui de l’un des bébés qui est décédé. Nous expliquons la situation aux enfants qui sont à nouveau très tristes et qui espèrent que le troisième chiot kangal est toujours en vie…

En début d’après-midi, un groupe de 10 femmes s’installent près de nous. L’une d’elles nous apporte deux plats et m’invite à partager un temps avec elles. J’ai le droit à de nombreuses questions sur moi, les enfants, notre mode de vie. C’est, encore une fois un super moment !

Jeudi matin, nous avons la joie de revoir le 3ème chiot kangal. Il est en vie, les enfants sont heureux ! Il reste avec nous toute la journée.

Nous faisons aussi la connaissance de Yusuf et Nurhan qui nous invitent à partager leur kavhaltı. Nous passons une petite heure avec eux avec beaucoup de plaisir.

Vendredi matin, après notre dernière journée d’école de la semaine, nous rangeons Ookami et préparons nos affaires pour passer quelques jours auprès de notre famille turque.

Nous arrivons chez eux en milieu d’après-midi. C’est vraiment une joie de pouvoir partager de nouveaux temps privilégiés avec eux.

Samedi, après le kahvaltı et une bonne douche, nous partons avec Yavuz au sanayi pour faire quelques réparations sur la carrosserie d’Ookami. Nous en profitons aussi pour acheter une durite afin de changer celle que nous avions réparée un peu à l’arrache avec une bouteille d’eau il y a quelques mois. Nous achetons aussi de la fibre et de la colle pour réparer une fissure que nous avons sur les coques des tentes.

Dimanche, on se la coule douce. Levé vers 10 h pour nos amis, puis après le kahvaltı, Yannick est mis à contribution pour faire de la maintenance informatique. Nous partons ensuite passer l’après-midi dans un parc. On profite du soleil et de l’ombre des arbres. Yavuz nous fait même découvrir nos premiers dürüm végétariens.

Lundi, après une matinée travail – école – kahvaltı, nous allons avec Efe chez un petit commerçant pour faire poser des films solaires sur les fenêtres d’Ookami. On en profite même pour changer les haut-parleurs qui ont le même âge que notre Ookami : 23 ans !

Mardi, on reste à la maison ! On a du travail et il faut qu’on avance. Pour le dîner, c’est Yannick qui se met au fourneau en préparant un butter chicken vegan, avec de la protéine de soja texturée reçue de France cet hiver plutôt que du tempeh (introuvables ici). Nos hôtes adorent ce plat, et ils se resservent. Nous sommes vraiment ravis. Nous allons ensuite prendre le çay dans un petit parc, ce qui permet aux enfants de se défouler avant d’aller se coucher.

Mercredi matin, nous prenons le temps de travailler et de faire l’école avant le kahvaltı. Nous reprenons la route en début d’après-midi.

Après un arrêt pour faire quelques achats, nous nous rendons sur un Park Alanı sur les hauteurs de Kayseri. La nuit est très calme et douce. Le lendemain matin, après l’école, nous allons nous balader dans le parc où nous découvrons des animaux (paons, poules, canards, lamas, poneys). Nous quittons ensuite la ville, direction de la mer Noire.

Au départ, nous avions prévu de passer l’Aïd-El-Adha (Kurban Bayramı) avec notre famille, mais sans vraiment savoir en quoi consiste cette fête. Il s’agit de la fête du sacrifice. Cette fête commémore le sacrifice que Dieu à demander à Ibrahim (Abraham) pour tester et éprouver sa foi : sacrifier son fils unique Ismaël. Ibrahim, uni à son fils, tente de l’immoler avant d’être stoppé par l’archange Jibril (Gabriel) et Ismaël fut épargné et remplacé par un bélier. Ibrahim devait choisir entre l’amour de son fils unique et l’amour de Dieu. En choisissant l’amour de Dieu, ce dernier lui rend son fils.

Les musulmans commémorent donc cette épreuve des deux amours en sacrifiant un animal.

Après cette explication, nous avons fait le choix de ne pas partager cette fête avec notre famille. En effet, nous ne nous imaginons pas participer à ce sacrifice qui pour nous est contraire à notre manière de vivre. L’Islam reconnait un autre moyen d’honorer ce sacrifice. En effet, il est possible pour ceux qui ne veulent pas sacrifier un animal de remettre une somme d’argent à une association caritative afin d’aider les plus démunis.

Nous allons donc passer ce temps de vacances entre nous au calme.

Nous souhaitons à tous les musulmans une heureuse fête de l’Aïd Al Adah !

Kurban Bayramınız kutlu olsun !